La désignation d’un porte-parole de l’opposition continue d’alimenter les débats en RDC un mois après l’installation du nouveau parlement. En dépit de divergences qu’il pourrait y avoir lors des tractations, Jacques N’djoli, cadre du Mouvement pour la libération du Congo (MLC), pense que ça serait possible pour cette législature.
« Au regard de la volonté des uns et des autres de restaurer la gouvernance sur des bases constitutionnelle et légales, il serait indiqué après la mise en place du bureau définitif, l’obligation de mettre en place un porte-parole puisse se faire contrairement aux deux premières législatures », a -t-il dit à Top Congo.
Et de poursuivre : « Il faut se mettre à l’évidence que les difficultés inhérentes à la désignation d’un porte-parole qui découlent de notre système électoral ce qui nous met en face de plusieurs parties peut donner une opposition plurielle et ce qui va compliquer la désignation du porte-parole ».
Pour rappel, au niveau de l’opposition, c’est la plateforme Ensemble pour le Changement de Moise Katumbi qui possède plus de sièges au parlement. C’est pour ça que certains de ces cadres revendiquent ce poste.
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