Dans une interview accordée au journal anglais « The Times », Félix Tshisekedi a accusé la Grande-Bretagne de « fermer les yeux » sur les abus de Kagame, son bilan antidémocratique et les atrocités commises par son armée par procuration dans l’est du Congo riche en minerais, une évaluation très différente de la description par Braverman du Rwanda comme « un phare dans la région ».
Félix Tshisekedi ne garde plus sa langue en poche pour citer nommément les responsables de l’agression dont fait objet son pays. Le président Tshisekedi a décrit le dirigeant rwandais comme un dictateur criminel et sanguinaire.
Félix Tshisekedi a également évoqué la question de l’accord de migration entre le Royaume Uni et le Rwanda. « Comment un pays avec de grandes valeurs comme le Royaume-Uni peut-il faire des compromis avec de telles connaissances ? », s’est interrogé le chef de l’Etat congolais.
Plusieurs langues se délient sur cette affaire. L’activisme mené par le M23 dans la partie de la RDC menace de plus en plus l’intégrité du territoire congolais. Malgré les efforts diplomatiques menés par la RDC, le régime de Kigali nie toujours les accusations des autorités congolaises.
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