Le moratoire de sept jours accordé aux  mandataires et élus du regroupement politique AFDC et alliés pour clarifier leurs positions au sein du FCC va bientôt arriver à son terme. Il ne reste plus que 4 jours, signale Me Claudel Tshikamba, cadre de l’Afdc et alliés que dirige l’honorable Néné Nkulu. D’après ce dernier, des conséquences politiques sévères seront prises à tous ceux-là qui ne vont pas se conformer.

Me Claudel Tshikamba se réjouit par ailleurs de l’engouement et confiance que leurs élus et mandataires  manifestent depuis que ce moratoire est donné. « Nous avons eu des résultats très positifs parce que le président de l’assemblée nationale du Haut Katanga,  la questure de l’assemblée nationale,  le  vice-gouverneur du Maniema avaient déjà répondu au mot d’ordre lancé par la présidente de l’AFDC et alliés  l’honorable Nene Ilunga Nkulu ».

En sus, Me Claudel Tshikamba souligne le fait que ces mandats été obtenus grâce à une solidarité politique exemplaire qui a été exprimé dans le cadre du Front commun pour le Congo logique. C’est ainsi que, poursuit-il,  Madame Ilunga a donc voulu rappelé tout le monde à la simple logique de pouvoir continuer à exprimer la cohérence de leur démarche politique.

« Nous sommes très confiants que la plupart vont réagir parce que de plus en plus de personnalité confirment leur démarche non seulement par voie de presse, mais par voix des missives adressées par la coordination du FCC  avec copie pour information au regroupement AFDC/A », a-t-il renchérit.

S’agissant de l’implication de Joseph Olenghankoy, président du Conseil national de suivi de l’accord,  Me Claudel Tshikamba salue le travail mené par ce dernier et rassure cependant que son institution sera édifiée par le fait qu’il y a une grande décision  qui a été prise par la conférence des présidents qui s’est réunie autour de l’honorable Nene Ilunga.

Pour lui, Nene Ilunga a pris acte premièrement de la radiation de Monsieur Bahati par le FCC, et deuxièmement de l’exclusion de Bahati au niveau de la plateforme pour deux faits majeurs. Premièrement pour avoir orienté de  manière unilatérale la plateforme dans une autre voie que la voix initiale, puis une ligne politique contradictoire avec les engagements initiaux.