Un réseau mafieux constitué des personnes bien identifiées mène une campagne de sape contre la société Auto- Lubumbashi pourtant reconnue grâce à sa meilleure qualité en RDC depuis son installation il y a plus de 30 ans dans la province du Haut-Katanga. Ledit  réseau fonctionne sous le label de la nouvelle société « RAPID TECHNOLOGIC RING ET HYDRAULIC SUPPLY » en clandestinité depuis le 18/03/2022.

Faut-il noter que, derrière tout le montage cousu de fil blanc dans le but de déstabiliser la société Auto-Lubumbashi se cacherait un sieur Sud-Africain, l’actionnaire majoritaire, qui représenterait devant la législation en vigueur cette société fabriquée.

Premièrement, la société Auto-Lubumbashi rappelle que les nouveaux responsables de cette nouvelle société ont tous travaillé chez AUTO- LUBUMBASHI comme agents et ont presque démissionné au même moment et cela d’une façon cavalière. Il s’agit de M. Tshoya Kabinda Tgrenaut,  de Mme Kabinga Clémentine et M. Kwaramba Tarirai Tigere (Zimbabwe). « Ce dernier a même bénéficié d’un traitement de faveur comme expatrié et qui a aussi vu l’entreprise supporter son arrivée et séjours en RDC », nous explique un responsable de la société Auto-Lubumbashi.

Ensuite, au niveau de la justice et devant tous, la société «  RAPID TECHNOLOGIC RING ET HYDRAULIC SUPPLY » était déboutée et n’a pas pu prouver matériellement son existence légale et la qualité réelle des agents qui exercent chez elle.

« les juges ne savent pas bien travailler suite aux pesanteurs politiques notamment les menaces venant des spécialistes en inspiration machiavélique avec des méthodes non transparentes utilisées pour le besoin de la cause pour décourager les bonnes volontés qui s’activent pour faire avancer le pays », nous a confié la même source.

Il sied de signaler que  la société AUTO-LUBUMBASHI qui emploie un nombre important du personnel sans compter leurs dépendants et dernière cet engagement tous azimut se cache une grande vision pour la RDC pour la multiplication des succursales notamment à Kinshasa et ailleurs.

Par la Rédaction