Le Chef de l’État, Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo a appris avec satisfaction la signature de l’accord de paix historique survenu jeudi dernier entre Israël et les Émirats Arabes Unis, sous l’égide du Président américain, Donald  Trump. Félix Tshisekedi félicite de ce fait les deux États ainsi que le Président Trump pour cette avancée significative dans la quête d’une paix durable dans le Proche-Orient.

Par cet accord, l’État hébreu accepte ainsi de mettre fin à la poursuite de l’annexion de territoire palestinien. Il s’agit là d’une « percée spectaculaire », a commenté le président américain Donald Trump. Ce document permet, a t-i indiqué, à ces deux pays de normaliser leurs relations.

Les Emirats arabes unis ont assuré de leur côté que l’accord avec Israël était une « étape audacieuse » qui permettra de parvenir à « une solution à deux Etats » pour le peuple palestinien. Les Émirats arabes unis deviennent ainsi le troisième pays arabe – après l’Égypte et la Jordanie – à établir des relations diplomatiques avec Israël, fait remarquer le site d’information rts.ch

« La gauche israélienne et mondiale a toujours dit qu’on ne peut pas faire d’accord de paix avec les pays arabes sans la paix avec les Palestiniens (…) Pour la première fois dans l’histoire, Benjamin Netanyahu a brisé ce paradigme. »

Un autre son de cloche est entendu dans le rang de mouvement islamiste palestinien Hamas, au pouvoir dans la bande de Gaza. Cet accord est rejeté et condamne. « Il ne sert pas la cause palestinienne mais est considéré comme une continuation du déni des droits du peuple palestinien », a déclaré Hazem Qassem, le porte-parole du Hamas, qui a livré trois guerres à Israël par le passé et qui a encore échangé des tirs avec l’Etat hébreu au cours de la dernière semaine.